La série s'achève dans une situation qui n'appelle pas spécialement de suite.
Cette série a réussi à appliquer à la lettre les codes du genre Super Robot tout en les tournant en dérision. C'est rare que je suive une série à un rythme hebdomadaire comme celle-ci, et encore plus quand c'est une série originale (pas une adaptation d'un manga dont je connais déjà l'intrigue). Je crois que dernière fois que j'avais fait c'était pour G-Reco (et je l'avais amèrement regretté).
Je ne connaissais pas du tout le studio Cygames avant de voir cette série et ça me donne envie de me pencher un peu sur leur production (je ne connais qu'Akiba Maid War mais seulement de nom). J'espère un jour voir cette série adaptée dans les SRT tant son classicisme (ce qui ici n'est pas un défaut) fait qu'elle pourrait se fondre facilement dans le moule.
Le seul truc que je n'ai pas trop aimé, c'est le protagoniste, Isami, qui a un tempérament un peu trop passif à mon goût. Cependant, vu tout le sous-texte homoérotique de la série, ben ça se justifie un peu. J'ai apprécié le fait que pour une fois, on n'ait pas ce côté hypersexualisé des persos féminins dans une série d'Ôbari (le genre de truc qui fait que même une bonne série comme Gravion, je n'arriverai pas à la conseiller à tout le monde). Du fan-service, on en a toutefois, mais il s'adresse à un autre genre de public.
Il n'empêche que l'héroïsme exacerbé de Bravern et les babillements de Lulu vont me manquer maintenant que la série est finie.
Cette série a réussi à appliquer à la lettre les codes du genre Super Robot tout en les tournant en dérision. C'est rare que je suive une série à un rythme hebdomadaire comme celle-ci, et encore plus quand c'est une série originale (pas une adaptation d'un manga dont je connais déjà l'intrigue). Je crois que dernière fois que j'avais fait c'était pour G-Reco (et je l'avais amèrement regretté).
Je ne connaissais pas du tout le studio Cygames avant de voir cette série et ça me donne envie de me pencher un peu sur leur production (je ne connais qu'Akiba Maid War mais seulement de nom). J'espère un jour voir cette série adaptée dans les SRT tant son classicisme (ce qui ici n'est pas un défaut) fait qu'elle pourrait se fondre facilement dans le moule.
Le seul truc que je n'ai pas trop aimé, c'est le protagoniste, Isami, qui a un tempérament un peu trop passif à mon goût. Cependant, vu tout le sous-texte homoérotique de la série, ben ça se justifie un peu. J'ai apprécié le fait que pour une fois, on n'ait pas ce côté hypersexualisé des persos féminins dans une série d'Ôbari (le genre de truc qui fait que même une bonne série comme Gravion, je n'arriverai pas à la conseiller à tout le monde). Du fan-service, on en a toutefois, mais il s'adresse à un autre genre de public.
Il n'empêche que l'héroïsme exacerbé de Bravern et les babillements de Lulu vont me manquer maintenant que la série est finie.
Bref, c'est une série que je conseille aux membres de ce forum.
Un dernier mot pour finir : "GaGaPi !"